Pourprées
Description :
Engagée dans la démarche « consommer moins mais consommer mieux », la marque propose une large gamme de culottes menstruelles 100% fabriquées en France, de manière éthique et responsable. Les culottes sont toutes conçues en coton certifié Standard 100 par OEKO-TEX. Savoir-faire de qualité, traçabilité et transparence, prix juste pour tous sont les valeurs qui caractérisent Pourprées.
Informations utiles :
Constat sur les protections menstruelles jetables : cette industrie fait preuve d’un manque certain de transparence, et les dangers de ces produits sont encore trop méconnus. Avez-vous remarqué l’absence de la composition des protections jetables sur leurs emballages ? Toutes ces protections à usage unique, même de grandes marques, contiennent de la dioxine (reconnu potentiellement cancérigène et perturbateur endocrinien), des résidus toxiques, des produits pétrochimiques de synthèse, des pesticides, des insecticides…
Tampons : composés de Rayonne (abrasif), ils provoquent des micro-lésions sur les muqueuses internes et assèchent le vagin en absorbant sa flore qui protège des infections (surtout à la piscine, où le chlore remonte par capillarité et détruit la flore vaginale.). Les tampons hygiéniques peuvent causer le syndrome du choc toxique (infection grave) : il est rare, mais peut être mortel.
Serviettes et protège-slips : composés de plastique qui empêche la peau de respirer, ils favorisent l’humidité et donc la macération, ce qui entraîne prolifération des bactéries et mauvaises odeurs, démangeaisons, mycoses. Ils contiennent des additifs, parfums et colorants - souvent allergènes. À force d’utilisation, la peau et la flore s’abîment.
Le jetable est un désastre écologique : 540 cycles menstruels dans la vie d’une femme représentent 10 à 20 000 serviettes ou tampons jetés (soit un budget d’environ 2000 € par femme). En fin de vie, ces déchets finissent : en incinérateur (émission de dioxine et gaz à effet de serre), enfouis dans des décharges ou dérivent dans les océans via les réseaux d’évacuation, où ils mettront 500 ans pour se dégrader, en polluant les sols et les nappes phréatiques/ les rivières et les océans.
Le saviez-vous ? Les seules bactéries du sang menstruel sont celles de la flore vaginale, des « bonnes bactéries ». Le sang n’est donc pas « sale » ! Le sang menstruel contient des cellules souches permettant de recréer des cellules spécialisées (pulmonaires, cardiaques...) : c’est un sang unique et riche.